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Nous sommes ce que nous mangeons ! une bonne santé dépend d’une alimentation variée, vitaminée, nutritive et complète.

Formée à la diététique, nutrithérapie, à la médecine nutritionnelle et fonctionnelle, en gemmothérapie et oligothérapie. Je suis passionnée de nutrition et je ne cesse de me former, de lire, de m’informer sur tout ce qui concerne la nutrition.

Mon travail consiste d’abord à vous écouter et à comprendre d’où viennent vos maux (migraines, fatigues, insomnies, prise de poids, douleurs ostéo-articulaire, maladie inflammatoire etc…. . Je fais des liens avec votre hygiène de vie, votre nutrition, votre taux d’activité physique, de stress, etc…. 

Ensuite je détecte et corrige vos carences micronutritionnelles (fibres, vitamines, minéraux, acides gras, protéines, glucides…) après avoir effectué au préalable un bilan nutritionnel. Je vous accompagne dans la mise en place d’une nouvelle alimentation et définis vos besoins en micronutriments, pour vous aider à retrouver la forme.

Origine de la micronutrition

Le concept de micronutrition a été initié par des médecins en 1992. L’idée de son fondateur, le Dr Christian Leclerc, était d’apporter sa contribution à une médecine de la santé, complémentaire de la médecine de la maladie. Cette nouvelle discipline s’inspire à la fois de la biologie nutritionnelle et fonctionnelle et de la médecine préventive individualisée. Elle s’est construite notamment autour des avancées de la recherche sur les liens entre nutrition et santé.

Principe de la micronutrition

Au-delà des principes généraux de recommandations alimentaires édictés pour le plus grand nombre, la micronutrition accorde une place importante au conseil alimentaire et à la complémentation personnalisée. En tenant compte des besoins personnels de chaque individu, le conseil alimentaire sera susceptible d’être mieux suivi et plus efficace.

Le praticien en micronutrition s’adapte en effet à la personnalité du sujet, c’est-à-dire à son style alimentaire et à sa relation personnelle à l’alimentation. Il prend en compte son état de santé, résultat des interactions entre ses prédispositions génétiques et ses habitudes de vie.

Le micronutritionniste  observe les besoins particuliers d’une personne en fonction de ses capacités digestives, de ses activités, de ses perturbations du moment (infection, inflammation, prise de médicaments) et de ses habitudes actuelles ou passées (consommation de tabac, d’alcool…).

Pourquoi consulter un micronutritionniste ?

Les spécialistes recommandent la micronutrition dans le cadre de :

– troubles du fonctionnement digestif : assimilation des aliments, confort et transit digestif ;

– allergie, intolérance, problèmes de perméabilité intestinale ;

– troubles de l’humeur et du sommeil, troubles du comportement alimentaire, sevrage (tabac, alcool, médicaments) ;

– troubles fonctionnels : syndrome de fatigue chronique, fibromyalgie ;

– prévention des maladies cardiovasculaires et du syndrome métabolique ;

– prévention et accompagnement dans le domaine du surpoids et de ses complications cardiométaboliques ;

– nutrition prévention chez les personnes souffrant d’ostéoporose ou d’états de fragilité ;

– lutte contre le vieillissement et les maladies dégénératives type Alzheimer, arthrose, ostéoporose ;

– prise en charge du régime sportif : optimisation des performances, meilleure tolérance des entraînements et bonne récupération.

Comment se déroule une consultation en micronutrition ?

La consultation en micronutrition sert à déterminer la manière dont une personne se nourrit pour repérer les éventuels déficits dont elle souffre. Le micronutritionniste commence par identifier l’origine des perturbations de santé.

Les outils de dépistage à disposition du micronutritionniste

Ils comprennent les questionnaires alimentaires et fonctionnels, ainsi que l’exploration de marqueurs biologiques.

– Le questionnaire alimentaire : le patient doit noter scrupuleusement ce qu’il mange pendant une semaine, afin d’analyser son comportement alimentaire. Il se rend alors compte par lui-même de sa sous-consommation ou de sa surconsommation d’une famille d’aliments. Avec l’aide du micronutritionniste, il déterminera ses portions quotidiennes, tout en essayant de corriger les déséquilibres de sa pyramide alimentaire.

– Le dépistage de déficience micronutritionnelle sert à détecter l’impact de l’alimentation sur le fonctionnement d’un organisme. Il regroupe les troubles fonctionnels sous cinq catégories : troubles de l’humeur et fatigue, troubles fonctionnels digestifs, troubles ostéo-articulaires, troubles cutanés et troubles circulatoires.

– Le questionnaire DNS (dopamine-noradrénaline-sérotonine) mesure l’impact de l’alimentation sur le fonctionnement du cerveau. Il permet de préciser d’éventuelles causes de troubles du sommeil, de déprime ou de concentration.

– Le QMS (questionnaire de médecine de santé) est l’outil d’évaluation fonctionnelle proposé aux médecins référents en médecine de santé, disponible sur Internet. Il peut être rempli par le patient avant sa première consultation. Les informations sont organisées en cinq rubriques de perturbations fonctionnelles ayant un lien très étroit avec la satisfaction des besoins nutritionnels : la protection cellulaire, la communication cellulaire, l’interface digestive, la fonction cerveau, la fonction cardiométabolique.

Après analyse de ces questionnaires, le micronutritionniste peut décider d’affiner ses recherches par des explorations biologiques nutritionnelles et fonctionnelles :

– dosages pour préciser les déficits ou le niveau de perturbation digestive ;

– évaluation du stress oxydatif ;

– évaluation des besoins et de la consommation du patient en oméga 3 et oméga 6 ;

– évaluation des déficits en neurotransmetteurs.

Comment corriger les perturbations observées ?

La stratégie de correction consiste à proposer un ajustement alimentaire et, si besoin, une complémentation individualisée.

Le conseil d’ajustement alimentaire s’inspire globalement du modèle méditerranéen d’inspiration crétoise, et insiste en particulier sur les points suivants :

limiter les calories vides en s’intéressant aux micronutriments protecteurs présents dans les fruits et légumes ;

favoriser les produits céréaliers à forte densité micronutritionnelle (céréales complètes et les légumineuses) ;

– éviter le sel caché, notamment dans les produits industriels ;

– favoriser les associations alimentaires garantissant un bon équilibre acido-basique ;

– choisir des huiles d’assaisonnement offrant un bon rapport oméga 3 et 6 (olive/colza, colza-noix) ;

s’assurer de la bonne tolérance des aliments consommés en vérifiant leur impact sur la fonction digestive.